Eels retrouve ses racines rock avec son nouvel album !
Près d’un an après la sortie de son dernier album Earth To Dora, EELS, groupe leadé par Mark Oliver Everett
(alias E), présente son quatorzième long-format intitulé Extreme Witchcraft, à paraitre le 28 janvier via [PIAS] et
E Works Records. Coproduit par le guitariste de PJ Harvey, John Parish, ce nouveau projet est un retour aux
racines du groupe ultra prolifique de Los Angeles, alignant les titres rock électriques chargés de guitares
énergiques et aux refrains addictifs, s’éloignant de la pop onirique de leurs derniers travaux.
Il y a sur ce nouvel album des titres si beaux qu'on n'en mène pas large : " Les Roches ", " La Maison ", " Au bord de la mer sous la pluie ". Des morceaux qui nous racontent aussi, comme " Nouvelles du monde lointain ", " Avec les autres " ou " Dernier appel de la forêt " : à l'écoute des paroles, on y reconnaîtra ce monde qui change sans trop savoir ni pourquoi ni où il va, et auquel il faut s'adapter, ou pas.
Sans jamais dévier de sa route et de ses envies, " Le Monde réel " fixe un moment de musique d'une honnêteté et d'une luminosité foudroyantes, qui porte l'oeuvre de Dominique A encore plus loin.
Pour son nouvel album, le contrebassiste compositeur François Poitou invite la rappeuse instinctive Pumpkin. Un virage artistique ambitieux pour celui s'était illustré dans un "jazz fait de cordes et de raffinement". Une union réussie, résultat époustouflant.
Après deux albums salués par la critique et conjuguant jazz avec musique de chambre (Funambule, 2017 ; Le sec et la lune, 2019), François Poitou opère un véritable changement de cap avec 'Arômes complexes', en nous conviant à de singulières noces entre jazz et rap. Il ne s'agit pas d'une fusion, comme on en a pas mal entendu. Ici, le flow de la rappeuse Pumpkin s'intègre finement aux compositions, comme le ferait la voix d'une chanteuse. François Poitou est familier du hip hop des décennies 1990-2000, dont, adolescent, il kiffait les figures de proue.
Avec 'Arômes complexes', il a conçu ses compositions en considérant 'les interventions rappées comme des solos au même titre que ceux de la trompette et du saxophone ', souligne-t-il. Pour relever le défi, il a eu la pertinence de faire appel à Pumpkin qui, outre son édifiant duo avec le beatmaker Vin'S da Cuero et des featurings avec DJ Vadim, Guts, Gaël Faye, Sly Johnson ou China Moses, avait travaillé avec un trublion du jazz, le cornettiste et vocaliste Médéric Collignon. 'Chez Pumpkin, j'apprécie la précision rythmique, la qualité des textes et les thèmes abordés '. Pour la Nantaise d'adoption, 'l'échange a été vrai et stimulant '. Elle ajoute : 'J'aime les challenges qui me sortent de ma zone de confort. Je me suis reconnue dans l'exigence de François Poitou et des autres membres du quartet '.
Diplômé de l'école supérieure des Arts et Métiers, il a exercé en tant qu'ingénieur pendant une poignée d'années. Ce n'est peut-être pas un hasard s'il compte parmi ses premiers inspirateurs un autre matheux, Herbie Hancock. A l'instar du pianiste visionnaire, il a décidé d'abandonner son métier d'ingénieur pour se consacrer à la musique. Il y a de la poésie dans la mathématique comme dans la musique. Et il y a de la mathématique dans la musique... On retrouve, dans l'art du contrebassiste, compositeur et arrangeur, la précieuse étreinte de la rigueur et du mystère.
On déguste avec plaisir la pièce 'Arômes complexes', qui file la métaphore du vin et de son bouquet pour évoquer la complexité des êtres. 'La série des Deux pieds (plages 1, 2, 3 et 4) donne l'occasion de faire le point, d'opérer une introspection. Un simple regard porté sur nos pieds indique le lieu où nous les avons posés. Cet endroit où nous nous trouvons dit quelque chose de notre environnement, il influence notre humeur, notre état d'esprit...'.
Sa musique parle par elle-même, sans recourir aux mots. Elle dit des émotions, des sensations, à travers une dimension cinématographique. Elle cultive le suspense et porte en ses entrailles une dramaturgie.
Si l'on demande à GLIZ de décrire son deuxième album, le trio évoque le lâcher prise de son écriture, qui lui a permis "d'aller vers une pop-psyché, brûlante de mélancolie et d'énergie" et parle d'un disque plus coloré, plus en relief. Et s'il est difficile pour des artistes de résumer en quelques phrases des mois de travail, le groupe le fait avec justesse, oubliant seulement de mentionner le côté lyrique de certains morceaux mille-feuilles de MASS ou l'atmosphère onirique d'autres titres. Ce n'est pas un album à écouter en fond sonore, d'une oreille distraite. Il happe l'auditeur, le tire par la manche pour l'embarquer dans son univers étrange et poétique, dans lequel déambule l'animal-totem de la pochette, coincé dans la brutalité de nos vies modernes et urbaines. Le décalage entre ces mondes est à nouveau symbolisé dans l'artwork du disque. L'album précédent était illustré par un clip aussi beau qu'angoissant, avec son éclosion nocturne de nuées de ces papillons qui détruisent les bois du Jura. Cette fois, on découvre sur la pochette une bestiole en fourrure inspirée par les kukeri, costumes des Pays de l'Est, hybrides d'humains et d'animaux, divinités païennes destinées à chasser les mauvais-esprits. Un animal-totem qu'on va retrouver en
fil-rouge dans les vidéos de MASS et qui va se confronter à ce qu'il y a de plus brutal dans le monde industriel sans comprendre ce qui lui arrive. "Il a un regard pur et ancien sur notre monde moderne. C'est le révélateur de tout". Une mascotte aux origines nébuleuses ("on ne sait pas si c'est un alien ou un yéti"), auréolée de mystère et de poésie, à la manière de la musique de GLIZ.
Délibérément hors-cadre, Courcheval est depuis 2017 le projet d'un Guillaume Cantillon qui, s'il aime à faire solo, libre, et animé par un ardent désir de construire un champ musical bien à lui, a aussi le don de bien s'entourer.
En ce sens le bien nommé 'Gymkhana', en avril 2022, pose d'emblée des fondations solides et pourtant, initialement, le rendu frustrait Guillaume. Trop 'normal', un brin trop prévisible, c'est avec l'aide de Benjamin Sportes (Futuro Pelo, ex Sporto Kantes) que l'EP trouve ses contours définitifs, la patte Courcheval que Guillaume appelait de ses voeux sans l'avoir complètement finalisée.
Parallèlement à cela l'image, allant de pair avec le contenu sonore et verbal, échoit à des dames au talent porteur. L'artiste graphique Franco-Marocaine Mariyem Moutaouakkil se charge des visuels. En ce qui concerne les clips, appliqués à 'Labeur' 'Danse Courcheval Danse' et 'Éoliennes' la réalisatrice Pauline Bricout prend l'affaire en mains.
L'aventure est en marche, la personnalité du projet incite le reconnu Upton Park, où résident entre autres Hyènes et Stuck in the Sound, à manifester sa volonté de sortir l'album.
Celui-ci, où l'on songe de manière éparse à Beck ou De La Soul pour l'audace et l'alliage stylistique, voire Gainsbourg pour le phrasé délié, décline sur onze titres addictifs l'approche Courcheval, désormais validée.
Sur ce partchwork au groove délié, mais insistant, on trouve une coolitude dont on fall in love immédiatement (chers Man FooTits, si vous me lisez...), d'emblée émise par 'Danse Courcheval Danse!', qui suscite les premiers déhanchements lascifs et décisifs. Des samples inspirés, une funkytude dopée à la classe sans crasse (Da Courcheval), que relaie 'J'avoue' qui te met le Beck dans l'eau. De l'excellence textuelle, à la truelle. Des Éoliennes, chansonnées avec éclat et poppisme sachant que l'inverse vaut tout autant. Courcheval, c'est un pur-sang.
'Zuma', piqué chez Neil Young (je blague Loner, tu l'auras compris! Courcheval ne vole pas; il crée), serpente jusqu'à nos sens, qu'il flatte amicalement mais en se dotant, aussi, d'excès sexués délectables. Si tu me suis, je poursuis; 'Coca Cola Corfou', au poème délicat, te fait flotter, te Dylanise, t'apaise et fait reluire ses mots.
'Labeur', sans effort, te barde de sons en délices. De l'opus s'extirpe, enivrante, une détente à l'inspiration qui refuse de se tarir. 'Oh mon salaud !' sans plus se presser, marie les voix et rafle les notres.
'Je te veux Courcheval puis plus rien' -c'est lui qui le dit, pas moi mais tout de même, je l'aime- fait de même, un brin reggae. Je dépose les armes, conquis; Courcheval chante l'amour et lui donne de beaux airs, avec ce savoir-faire qu'on ne peut que lui reconnaître. Il se fait ragga, et pas seulement, sur 'Courcheval! Tu ne m'aimes plus!' Il dit des conneries, à vrai dire on l'adule. Alors, les prolongations il joue. Pour nous. 'But en or'. Trézéguet, Euro 2000. Le Rital à genoux, l'auditeur aussi. Le terme est acidulé, distingué, élégant mais sulfureux. Courcheval, au coup de sifflet final, emballe et se dévoile, le long d'une série de choix qui nous contraint, séduits, à lui filer quatre étoiles.
La songwriter australienne au sommet de son art !
La chanteuse australienne Julia Jacklin est de retour avec la sortie de son troisième album PRE PLEASURE, disponible le le 26 août 2022 via Transgressive Records/[PIAS]. L'album est un exemple magistral d'écriture et confirme le statut de Julia Jacklin comme l'une des plus importantes compositrices de son temps, parolière directe, prête à creuser les confins de l'intimité dans des chansons à la fois brutes et enjouées.Ecrit suite à la fin
de la tournée pour son précédent album Crushing (2018), et enregistré à Montréal en compagnie du producteur Marcus Paquin (The Weather Station, The National), PRE PLEASURE est un ensemble de 10 morceaux profondément personnels et intemporels, reflétant la volonté de l’artiste d’explorer de nouveaux terrains en tant que productrice et compositrice ; l’album présente Julia Jacklin sous son aspect le plus authentique, une parolière sans compromis et singulière toujours prête à explorer les profondeurs de sa propre expérience de vie.
Le grand retour de Mademoiselle K.
Inclus les singles " Chloroforme ", " Garçon Bleu ", " Vercors Hardcore " " J'rêve d'un CRS ".
Mademoiselle K nous avait manqué. Cinq ans se sont écoulés depuis son dernier album, " Sous les brûlures l'incandescence intacte ", l'un des meilleurs qu'ait porté la chanson française. Dans un rock français qui a toujours rencontré quelques difficultés à se conjuguer au féminin, l'exigeante Katerine Gierak s'est très vite imposée. Les productions qu'elle nous a offertes jusque-là ont souvent dépassé les standards du genre. Ambitieux, créatifs, co produits par les nantais Simon Quenea et Pierre Cheguillaume, ces nouveaux titres n'échappent pas à la règle. Certes Mademoiselle K se présente comme un groupe, son fidèle Peter Combard n'est jamais bien loin, mais c'est bien elle seule qui est aux commandes de chacun de ses projets. C'est elle qui décide. Comme lorsqu'après trois albums signés en maison de disque, elle fait le choix de reprendre son indépendance pour éviter la compromission. Ainsi naît en 2013 son propre label Kravache avec un K, et avec lui deux albums dont le roboratif " Hungry Dirty Baby " écrit dans la langue de Shakespeare. Il contient plusieurs pépites dont " R U Swimming ? " choisi par Antony Cordier pour illustrer son film " Gaspard va au mariage ". Savoir trancher n'interdit pas de se questionner. Le doute est même une seconde nature chez Katerine Gierak. Peu importe les centaines de milliers de disques vendus, Mademoiselle K s'interroge. Une nomination aux Victoires de la musique, des duos avec Zazie et Jacques Higelin n'y change rien. Alors quand la quarantaine frappe à la porte, elle se demande si le temps n'est pas venu de passer à autre chose. C'est vrai, après tout, avec les années, les chanteuses deviennent une espèce en voie de disparition pourquoi y échapperait-elle ? " Est-ce que c'est la fin ? Est-ce que je suis finie ? " entonne-t-elle sur " Chloroforme " en ouverture de son nouvel opus.
Les fulgurances de ce nouveau disque apportent très vite la réponse : non. L'adage veut que l'on se découvre quand on se mesure à l'obstacle, Mademoiselle K ne fait pas exception.
Faut-il la crainte de perdre l'usage d'un doigt, la peur de ne plus jamais pouvoir jouer de son instrument, pour que jaillisse des retrouvailles entre la chanteuse et ses musiciens dans le puissant " Nos intensités " ?
Faut-il l'isolement du Covid, pour nous rappeler notre besoin de faire société. Non sans humour, l'artiste prend sa part et nous offre un " Gratin de Tendresse ". Une légèreté qui lui a parfois fait défaut, mais qui lui va bien et nous fait du bien.
Le nouveau Mademoiselle K est un grand cru empreint de sensualité (" Vercors Hardcore ", " Les Trains ", " Gâché ", " Sous mon pull ", " Ta Sueur "...). Comme à son habitude, Katerine ne s'embarrasse pas de poncifs : " J'ai les bras en érections, tu me fais l'effet wagon " avoue-t-elle dans " Les Trains ". En quelques mots, elle délivre une poésie brute et précise. Sur ce nouvel opus, la voix de Mademoiselle K se déploie avec une justesse et une maîtrise impressionnante, tour à tour, sarcastique, énergique, lumineuse et tendre (Garçon Bleu). Si dix années de conservatoire ont fait d'elle une virtuose de la guitare, elle rappelle sur ce disque qu'elle est aussi une grande chanteuse.
Elle a une responsabilité. Elle se sait attendue. Ils ont été plus de 2000 à la soutenir sur Ulule. Lors de cette nouvelle tournée qui s'annonce, Mademoiselle K voudra les remercier. On les imagine déjà faire corps et sautiller sur le tubesque " J'rêve d'un CRS "... Le rock peut agir comme un baume, peut nous réveiller, nous extasier. C'est ce que l'on ressent en parcourant cette nouvelle oeuvre. Mademoiselle K est une très grande artiste. Les Écossais ont Sharleen Spiteri, les Anglais PJ Harvey, les Américains, Chrissie Hynde, réjouissons-nous de compter avec elle.
Cheat Codes marque le retour de Danger Mouse. Ce nouvel album avec Black Thought réuni les plus grands du hip hop : Joey Bada$$, A$AP Rocky, Michael Kiwanuka, MF Doom, Run the Jewels...
Quelques mois seulement après la sortie de 'Unlimited Love' (après déjà 40 000 ventes) qui acte le retour du guitariste John Frusciante au sein du quatuor, et quelques semaines après deux concerts exceptionnels au Stade de France, le groupe culte californien revient avec un album surprise, la dynamique de studio ayant donné naissance à de nombreuses chansons, assez pour deux albums. 'Return Of The Dream Canteen' est d'après eux tout aussi significatif que le précédent et constitue tout ce qu'ils sont et ont toujours rêvé d'être.
"Nous sommes partis à la recherche de nous-mêmes en tant que groupe que nous avons toujours été. Juste pour le plaisir, nous avons jammé et appris quelques vieilles chansons. Peu de temps après, nous avons commencé le mystérieux processus de création de nouvelles chansons. Une belle ingérence chimique qui s'était liée d'amitié avec nous des centaines de fois en cours de route. Une fois que nous avons trouvé ce flux de son et de vision, nous avons continué à l'exploiter. Avec le temps transformé en une ceinture élastique de sous-vêtements surdimensionnés, nous n'avions aucune raison d'arrêter d'écrire et de nous balancer. C'était comme un rêve. En fin de compte, notre amour morose les uns pour les autres et la magie de la musique nous avaient donné plus de chansons que nous ne savions quoi en faire. Eh bien, nous avons compris. 2 doubles albums sortis coup sur coup. Le second est facilement aussi significatif que le premier ou devrait-il être inversé. " Return Of The Dream Canteen " est tout ce que nous sommes et avons toujours rêvé d'être. C'est emballé.
Fabriqué avec le sang de nos coeurs, sincères salutations" --- The Red Hot Chili Peppers ---.
Le quatuor rockcalifornien Warpaint, est de retour avecRadiate Like This, leur nouvel albumdébordant d'idées, d'énergie et de superbes mélodies.
Leur nouvel album tant attendu, pour ne pas dire leur premier en presque 6 ans, arrive avec sa propre mythologie très moderne. Celui-ci poursuitla belle histoire du groupe et reprenant là où le groupe s'était arrêté. Si leur précédent opus marquait le passage à l'âge adulte, 'Radiate Like This' présente un Warpaint 2.0 dans toute sa gloire, une coalescence lumineuse de son et de vision qui dément obstinément sa genèse.
Bertrand Belin complète son album "Tambour Vision" avec une nouvelle version de son album complétée par 4 nouveaux titre, dont 3 totalement inédits :
Surfaces, La figure et moi, Oiseau et "La nouvelle" titre inédit qui nous fait encore rebondir sur ce Tambour Vision : Texte moqueur et d’actualité, Bertrand Belin aiguise son minimalisme et y joint des basses aux accents Funk- New Wave, uptempo et sharp, un track à placer entre Roxy Music et Franz Ferdinand.
Après la sortie de leur premier album " Bluestaeb & S. Fidelity Present Underground Canopy " (MENACE - 2020), salué par la critique, Underground Canopy (UC) a pu prendre le temps, en raison de la période de doute imprévue de 2020, de façonner de nouvelles compositions avec une approche nouvelle. Tout au long de cette période d'introspection forcée, le groupe parisien, qui ont vu leurs productions individuelles être sorties sur le label Jakarta, a expérimenté des codes musicaux plus raffinés et des sons colorés.
Le nouvel EP "Séquences : Live Session" célèbre l'esthétique cinématographique et la suspension du temps. Il constitue un témoignage audiovisuel de la progression continue du groupe. Dans cette ère marquée par l'incertitude mais pleine d'espoir, quelle sera la prochaine étape ?
LE 3ÈME ALBUM DU QUINTET AUSTRALIEN
UN DISQUE ENTRE SOUL JAZZ ET FUNK ROCK AUX GROOVES LOURDS ET GUITARES PERCUTANTES
Le son par*culier du quintet australien Surprise Chef s’inspire des musiques de films des années 70, du côté funk du jazz et des samples à la base du hip-hop. Ils repoussent les limites de la soul / funk instrumentales avec leur approche affinée par d’innombrables heures passées en studio. Originaire de la banlieue de Melbourne, en Australie, le groupe a conquis ses premiers fans avec ses deux premiers albums : All News is Good News et Daylight Savings. Aujourd’hui signé sur Big Crown Records, le groupe rejoint un roster d’autres ar*stes qui ont influencé sa musique depuis leur forma*on en 2017. Surprise Chef est composé de Lachlan Stuckey à la guitare, Jethro Curtin aux claviers, Carl Lindeberg à la basse, Andrew Congues à la batterie et Hudson Whitlock, le dernier membre en date, qui s’occupe un peu de tout, des percussions à la composition en passant par la production. On
trouve une batterie percutante, des claviers aux grooves lourds, des rythmes de guitare qui ne détoneraient pas sur un disque de Studio One et des lignes de flûtes échappées d’une session Blue Note. Issus d’une région où la musique soul / funk instrumentale faisait assez peu parler d’elle, ils ont pu développer leur son et leur approche dans une sorte d’isolement créatif, avec un petit cercle d’amis et de musiciens se nourrissant des idées les uns les autres. Sur Education & Recreation, de l'intro écrasante de "Suburban Breeze" au bop doux et flottant de "Spring's Theme", Surprise Chef a tissé un album qui vous fait passer par des pics et des vallées d'émotion et fournit une bande sonore vivante qui vous entraîne plus profondément dans votre imagination.
Beach House dévoile un 8ème album pop et atmosphérique de haute voltige !
Beach House est de retour ! Le groupe américain sortira son 8ème album studio intitulé Once Twice Melody le
18 février prochain via Bella Union/[PIAS]. Once Twice Melody est le premier album entièrement produit par
Beach House. Pour la première fois, un ensemble de cordes a été utilisé en studio, avec des arrangements de
David Campbell. Once Twice Melody comprend 18 titres et, avant sa sortie physique, est présenté en 4
chapitres distincts sur les plateformes de streaming. Once Twice Melody est surement un des plus beaux
albums de Beach House. Un album de haute voltige mêlant titres dream-pop mélancoliques et rêveurs dans la
plus pure tradition du groupe originaire de Baltimore - une perle rare qui place Beach House une fois de plus
sur le devant de la scène pop indé !