Produit d'une collaboration aiguisée par un long compagnonnage avec Thibault Frisoni, artisan de la montée en puissance des synthétiseurs analogiques et autres beat machines dans les récents album de Bertrand Belin, "Tambour Vision" s'est donné pour objectif de pousser plus loin ce qui s'annonçait, s'affirmait de plus en plus, à savoir, un goût pour la danse, perçu comme un exutoire.
Une danse mécanique minimaliste et burlesque rappelant la sophistication joyeuse des Talking Heads ou peut-être plus encore de David Byrne, à ranger entre la jubilation transe d'Alan Vega et le Scary monsters de Bowie, une nouvelle New Wave en français, marqué par l'économie de mots caractéristique aux esprits hésitant entre la chair et le verbe.
NOUVELLE EDITION 2CD DE L'ALBUM PERSONA.
AVEC 3 TITRES INEDITS :
Le feu au coeur (Ain't Talking / Bob Dylan) / Lentement (feat. Barbara Carlotti) /Grand Duc.
#II CD2: 4 TITRES ENREGISTRES EN LIVE A L'OLYMPIA.
Bertrand Belin, c'est d'abord une voix. Grave et lente, douce et entêtante.
Une voix qui se refuse aux grands effets et s'élève pour s'insinuer en vous lentement et durablement. Ce sont aussi des mots dont l'homme use comme de biens précieux, cherchant toujours à leur conférer le plus de relief et de résonance possible. Ce sont aussi des musiques qui oscillent avec élégance entre le folk et le rock. Cette voix, ces mots et ces musiques forment toute sa singularité.
Ce sont aussi des collaborations, comme dernièrement avec The Liminanas ou leur supergroupe L'épée.
Persona est le sixième album de Bertrand Belin. Persona n'est pas une chanson de l'album mais le rassemble, le lie. Persona embrasse. Mais quoi, mais qui? Comme toujours chez Bertrand Belin, on entrevoit des solitudes, des ruptures, des départs, des déclassements, thèmes totémiques. Bertrand Belin cultive son verbe et son songwriting si singuliers sur ce nouvel album, d'une richesse et d'une classe folles.
« Bertrand Belin est devenu une référence, un modèle sur la scène française, respecté par tout le monde. » - TELERAMA FFFF
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« Bertrand Belin, le dandy rockeur grave et nonchalant est de retour... bonheur ! » - France Inter -
« Un des songwriters made in France les plus incontournables. » - Les Inrocks -
«Bertrand Belin appartient à cette généalogie de stylistes qui détournent les vieux fleuves épuisés pour sculpter des jeux d'eau dans des jardins savants. Il sait tout de la chanson, de la pop, du rock, et compose dans un langage à part où l'on surprend autant de l'art de Claude Debussy que de Dominique A, autant d'Alain Bashung que de Bob Dylan, autant de country music que d'Elvis Costello.» Bertrand Dicale - Le Figaro
INCLUS : 3 TITRES INÉDITS
Dont « Le mot juste, le beau geste » en duo avec
CAMELIA JORDANA - accompagné d'un orchestre à cordes
Quatrième album de Bertrand Belin, déjà soutenu par de nombreux médias (Télérama, Inrocks, France Inter,.) Premier single « Un Déluge » déjà en manuel sur France Inter et sur le sampler des Inrocks du mois d'avril.
Tournage de nombreux contenus vidéos (sessions acoustiques, teasers, .) diffusés sur franceinter.fr En concert le 25 avril au Printemps de Bourges, le 29 mai à La Gaité Lyrique (Paris) et en tournée dans toute la France.
Showcases promo solo début juin dans des lieux élégants dans 10 villes de province.
L'un des morceaux de PARCS, le quatrième album de Bertrand Belin, s'appelle Sous les pas. Sous les pas du chanteur (qui est, accessoirement, toujours très bien chaussé), un chemin. Une voie de traverse dans la scène musicale française, à l'écart des lieux communs, des routes tracées d'avance.
On entend dans ses disques (le premier sort en 2005) l'empreinte du folk-rock, une voix grave et distanciée qui pétrit et cisèle des textes en français poétique.
On a souvent parlé de son esprit brillant, de son goût pour la littérature, la poésie, la vérité des choses derrière les apparences. Mais Belin est aussi une silhouette, un profil, un regard, une présence. Comme un genre de Corto Maltese, dont le quatrième album PARCS est à ce jour la plus belle des aventures.
Douze chansons qui s'inscrivent parfaitement dans la discographie et le style de Bertrand Belin - voix basse, poésie économe et mots choisis, souvenirs de paysages musicaux américains - tout en accueillant la pop, tout en s'abandonnant au vertige. Après le mat et minéral Hypernuit, PARCS est un album d'aube rougeoyante, de lumières mouvantes, d'arrangements comme des étoiles qui scintillent. C'est l'album le plus sensuel et charnel de Bertrand Belin, traversé par le monde, corps et âme.
Dans le prolongement naturel de leur réjouissante rencontre de 2018 avec Billy The Kid, un opéra de Gavin Bryars, Bertrand Belin et les Percussions et Claviers de Lyon croisent à nouveau leurs énergies sur scène. Après le succès de Persona (100 concerts), le chanteur pop revisite avec l’ensemble une sélection concertée de son répertoire. Ses chansons singulières et généreuses se parent pour l’occasion de sonorités inédites, des plus chaleureuses aux plus puissantes. Un déplacement inattendu et captivant dans le parcours de cet auteur compositeur adepte du hors-piste.