Pieter Timmermans ouvre le débat sur notre avenir. Il est convaincu que nous pouvons gagner. Et vous ?
Pieter Timmermans rompt avec le discours ambiant sur notre avenir. Tournant le dos au scepticisme et au cynisme, il présente une perspective optimiste tout en nuances : son credo pour gagner. Pourquoi ? Parce qu'il existe de nombreux ingrédients qui peuvent faire de la Belgique un pays prospère au sein d'un monde globalisé. Comment ? En lançant le débat sur des défis dont nous ne sommes peut-être pas encore conscients à l'heure actuelle, mais auxquels nous nous trouverons confrontés d'ici peu et qui modifieront en profondeur le monde dans lequel nous vivons et travaillons. Credo pour gagner est une invitation à la discussion adressée à tous ceux qui entendent exploiter nos atouts au maximum au cours des prochaines décennies. N'hésitez pas à donner votre avis !
En 1929, une crise économique inédite ébranle le monde. Face à l'interventionnisme de l'État et au chomâge massif, des voix s'élèvent. Bernard Landon propose une "solution miracle" : soutenir l'industrie en renouvelant fréquemment les biens d'usage. Selon lui, la crise entraîne une baisse de consommation et donc de production, menant à la fermeture des entreprises et au maintien de la situation économique critique.
Seule une sortie de ce cercle vicieux pourra sauver le pays. Et si les usagers ne consomment pas d'eux-mêmes, il faut les y pousser voire les y obliger. Mais en utilisant dans cet essai autodité de 1932 le terme d'"obsolescence programmée", il ne se doutait pas qu'il désignerait quelques décennies après l'introduction volontaire de défaillances techniques dans les produits.
Dans ce livre, Frédéric Lordon se penche sur le centre nerveux du capitalisme : le rapport salarial. Il l'envisage de manière marxiste, c'est-à-dire comme configuration des structures sociales, et, moins classiquement, d'un point de vue spinoziste : quels sont les affects qui font fonctionner ces structures ? Comment rendre les dominés heureux ? Que veut dire consentir ? Qu'entend l'entreprise par " motivation ", " réalisation de soi ", " épanouissement au travail " ? Comment certains salariés en viennent-ils à faire cause commune avec le Capital ?
Lordon nous le montre avec brio : le projet capitaliste est un projet de possession intégrale des âmes, des intériorités. Le totalitarisme est son stade ultime.
Lordon réouvre une porte vers une réponse communiste à l'entreprise : " une vie humaine ".
Cette histoire commence dans la nuit des temps. Un homme qui passe remarque un arbuste dont les branches se terminent par des flocons blancs. On peut imaginer qu'il approche la main. L'espèce humaine vient de faire connaissance avec la douceur du coton.
Depuis des années, quelque chose me disait qu'en suivant les cheminsdu coton, de l'agriculture à l'industrie textile en passant par la biochimie, [.] je comprendrais mieux ma planète. Les résultats de la longue enquête ont dépassé mes espérances.
Pour comprendre les mondialisations, celles d'hier et celle d'aujourd'hui, rien ne vaut l'examen d'un morceau de tissu. Sans doute parce qu'il n'est fait que de fils et de liens, et des voyages de la navette.
E.O.
Avec ce premier livre en français destiné à un large public, le prix Nobel d'économie 2014 nous invite à partager sa passion pour cette discipline. Il défend une certaine vision de l'économie, science qui croise la théorie et les faits au service du bien commun, et de l'économiste, chercheur et homme de terrain.
C'est dire que le lecteur pénètre dans l'atelier d'un économiste et voyage à travers les sujets affectant notre quotidien : économie numérique, innovation, chômage, changement climatique, Europe, État, finance, marché... En dressant un panorama des grandes problématiques de l'économie d'aujourd'hui, Jean Tirole nous fait entrer au coeur des théories dont il est le père.
Un jour, je me suis dit que je ne l'avais jamais remercié. Pourtant, je lui devais mes lectures. Et que serais-je, qui serais-je sans lire et surtout sans avoir lu ? [...] Alors j'ai pris la route. Sa route. De la Chine à la forêt canadienne, en passant par la Finlande, la Suède, la Russie, l'Inde, le Japon, l'Indonésie, l'Ouzbékistan, le Brésil, l'Italie, le Portugal et bien sûr la France, j'ai rendu visite aux souvenirs les plus anciens du papier. Mais je me suis aussi émerveillé devant les technologies les plus modernes. Saviez-vous que le chiffre d'affaires planétaire du papier l'emporte sur celui de l'aéronautique ? Comme je me préparais au départ, une petite voix m'avait soufflé : « Deux mille ans que la planète et le papier cohabitent. Plus tu en sauras sur lui, mieux tu apprendras sur elle. » La petite voix n'avait pas tort. E. O. Donnez-lui une page, Orsenna en fera une épopée. Clémentine Goldszal, Elle.
Qu'est-ce qui réunit Smith, Polanyi, Friedman, Keynes, Marx et Schumpeter ? Chacun, à sa manière, refuse les grilles de lecture de son temps et la pensée économique mainstream. Face aux mutations enfantées par les révolutions industrielles, ils sont tous des penseurs de l'alternative : ils questionnent l'intervention étatique, le risque d'épuisement de la croissance, son contournement par l'innovation et, surtout, la dose tolérable d'inégalités dans une société.
Confrontés aux conséquences des grandes crises économiques contemporaines et des guerres industrielles, ces six auteurs clés posent les jalons de la macroéconomie. En s'appuyant sur de nombreuses citations, cet ouvrage analyse finement la pensée de ces six économistes et propose des mises en perspective pour comprendre les débats politiques contemporains.
Citations ;
Enjeux ;
Mises en perspectives ;
La ?nance a pris une place démesurée dans nos économies, et ses dérapages pèsent lourdement sur le bien-être des populations. Mais il n'est pas facile pour le simple citoyen de comprendre les ressorts de l'instabilité ?nancière, a?n d'apprécier la pertinence des politiques qui prétendent la combattre. D'où l'intérêt de revenir sur les grandes crises du passé.
Ce livre enlevé fait le récit des plus exemplaires d'entre elles : la fameuse bulle sur les tulipes dans la Hollande du XVIIe siècle ; la première bulle boursière dans la France du Régent ; la crise ?nancière de 1907, qui a conduit à créer la banque centrale des États-Unis. Puis il revient de manière originale sur la crise de 1929, en montrant comment Roosevelt a imposé avec habileté les régulations qui allaient assurer plusieurs décennies de stabilité.
Se dessine ainsi une « économie politique des bulles », dans laquelle s'inscrivent parfaitement le dérapage des subprimes et la crise des dettes publiques en Europe. On comprend mieux alors les mécanismes à l'oeuvre, mais aussi le rôle joué par les inégalités, les rapports de forces politiques et les batailles idéologiques.
Dans dix ans, dans vingt ans, aurons-nous assez d'eau ? Assez d'eau pour boire ? Assez d'eau pour faire pousser les plantes ? Assez d'eau pour éviter qu'à toutes les raisons de faire la guerre s'ajoute celle du manque d'eau ? Dans l'espoir de répondre à ces questions, je me suis promené. Longuement. Du Nil au Huang He (fleuve Jaune). De l'Amazone à la toute petite rivière Neste, affluent de la Garonne. De l'Australie qui meurt de soif aux îles du Brahmapoutre noyées par les inondations... J'ai rencontré des scientifiques, des paysans, des religieux, des constructeurs de barrages [...]. De retour de voyage, voici maintenant venu le moment de raconter. Un habitant de la planète sur six continue de n'avoir pas accès à l'eau. Un sur deux vit sans système d'évacuation. Pourquoi ? E. O.
Chaque année, l'OFCE publie dans la collection « Repères » un bilan accessible et rigoureux de l'économie française. L'édition 2022 présente l'état de la conjoncture, les principales tendances et les grands problèmes contemporains. Elle apporte une analyse inédite de la crise de la Covid-19.
Le gouvernement doit-il proposer un nouveau plan de relance ? Quels besoins d'intervention additionnels sont nécessaires pour accélérer la sortie de crise ? Le « quoi qu'il en coûte » a-t-il préservé le revenu de tous les agents privés, entreprises et ménages ? Quelle réforme est possible pour notre régime de retraite ? Quelles conséquences doit-on attendre de la réforme de l'assurance chômage et quelles sont les différences avec celle figurant dans le programme du candidat Macron ?
Des références bibliographiques ainsi que de nombreux tableaux et graphiques complètent cet ouvrage.
Chaque année, le CEPII publie dans la collection « Repères » des analyses inédites des grandes questions économiques mondiales.
L'économie mondiale reste suspendue aux évolutions sanitaires de la pandémie de Covid-19, en quête d'un après que les réponses à la crise vont sérieusement modeler. Des impulsions décisives se font jour comme le plan Biden et l'amorce d'une refonte au niveau international de la fiscalité des entreprises. Verra-t-on pour autant la fin du dumping fiscal ?
L'endettement public a très fortement augmenté. Saura-t-on le (di)gérer ? Le bon guidage de la politique économique de ces prochaines années sera crucial. Saura-t-on déployer les investissements publics nécessaires pour sortir de la stagnation séculaire ? C'est aux banques centrales aussi d'innover. Feront-elles l'économie de vieilles grilles de lecture, comme la fameuse courbe de Phillips ? Verdiront-elles suffisamment leur politique monétaire pour lutter contre le changement climatique ? Contiendront-elles l'essor des cryptomonnaies privées avec leurs projets de monnaie centrale numérique ?
Les compléments statistiques situent les données récentes dans une perspective longue.
Nous sommes à la fin d'une ère, celle d'une économie fondée sur les énergies fossiles, le travail à temps plein, une gestion marchande du monde... et entrons dans ce que Rifkin appelle la troisième révolution industrielle, qui va bouleverser nos manières de vivre, de consommer, de travailler, d'être au monde. Une analyse lumineuse et providentielle de l'avenir de nos sociétés.
Pourquoi analyser les inégalités entre catégories sociales en termes de système ? Comment les inégalités sociales se déterminent-elles réciproquement ? En quel sens peut-on parler de cumul des inégalités ? Comment cette notion renouvelle-t-elle les approches habituelles de la pauvreté et de la richesse ? Pourquoi, comment et dans quelle mesure les inégalités entre catégories sociales tendent-elles à se reproduire de génération en génération ? Quels sont les principaux facteurs de cette reproduction ? Dans quelle mesure peut-on échapper à cette reproduction ?
En se fondant sur un riche matériau empirique, essentiellement statistique, et une exploitation méthodique des publications les plus récentes, ce livre montre l'intérêt d'une approche systémique des inégalités, qui met en évidence la permanence de la division de la société française en classes sociales.
L'année 2021 se sera révélée exceptionnelle pour les cryptodevises avec des changements géopolitiques majeurs, dont l'expulsion des mineurs de bitcoins de Chine et le redéploiement des activités de minage aux USA et au Canada, l'arrivée programmée des gov-coin, l'adoption du bitcoin au Salvador et bientôt dans d'autres pays. Mais 2021 se caractérise surtout par l'arrivée d'acteurs majeurs issus de la finance traditionnelle qui vont propulser les cryptodevises dans notre vie quotidienne. Tout cela s'accompagne d'une régularisation progressive et souhaitable, tant aux USA qu'en Europe, et qui confirme qu'un retour en arrière est désormais inenvisageable : les cryptomonnaies sont là et pour longtemps.
Un investisseur avisé qui cherche à construire un patrimoine important dans la durée, pour lui et pour ses enfants, doit donc dès aujourd'hui prendre en considération cet univers nouveau, fluctuant, peu ou pas encore contrôlé et où il est facile de perdre... ou de gagner.
Ce guide de stratégie financière est destiné aux investisseurs soucieux de diversifier leur patrimoine dans les cryptodevises pour profiter des rendements exceptionnels de la finance décentralisée ainsi qu'investir dans les projets blockchain et/ou dans les évolutions crypto les plus ambitieuses du moment (NFT, metavers..). Le modus operandi est ici détaillé et les principales stratégies, si particulières à cet écosystème, sont passées en revue. Le tout avec des mots simples permettant à tout un chacun de définir la stratégie qui lui correspond en fonction de son aversion au risque.
Le terme de "superyacht" désigne une embarcation dépassant 24 mètres, voire désormais 30 mètres, sous l'effet d'une course à l'allongement. Au début de ce siècle, il existait environ 2 250 vaisseaux de ce type dans le monde ; deux décennies et une crise financière plus tard, il y en a plus du double. Loin d'être anecdotique (en France, moins de 0, 01 % des immatriculations de véhicules maritimes à moteur sont concernées), la pratique de la plaisance de luxe, apparue au milieu du xixe siècle, met en évidence la sécession sociale et environnementale des plus riches.
Non pas caprice, excentricité, lubie de milliardaires au mode de vie extravagant ; mais reflet, expression, indice du monde comme il va. Non pas démesure, mais mesure - celle du délire général qui a pour nom "ordre social" . Forme contemporaine de la "réclusion ostentatoire" , la plaisance de luxe nous conduit tout droit aux grandes questions de notre temps - notamment à la reconnaissance juridique de l'écocide comme crime international.
De la lutte des classes à la surconsommation des riches, de la fraude fiscale à la délinquance environnementale, du greenwashing à la gestion différentielle des illégalismes : tirer le fil du superyachting, c'est dévider toute la pelote du capitalisme fossile.
Au terme d'une enquête-choc de cinq années, qui l'a conduit à mener plus de quatre cents entretiens dans douze pays africains et à consulter des centaines de documents émis par l'entreprise elle-même, Olivier van Beemen met en évidence les pratiques de la multinationale Heineken dans une partie du monde où les États sont souvent défaillants : collaboration avec des dictateurs, voire des criminels de guerre, évasion fiscale, corruption des élites, etc.
Il raconte avec précision comment la multinationale a réussi à imposer son propre récit, tout en profitant de l'absence de réglementation en matière de marketing ou de santé, sans jamais tenir compte des dommages causés par l'abus d'alcool aux économies et aux sociétés dans lesquelles elle opère.
Economiste, Frédéric Lordon est connu pour ses essais critiques sur la mondialisation financière, qui ont rencontré un grand succès public. Il a ici choisi une forme singulière, celle du théâtre, pour mettre en scène la crise de la finance mondiale. Le rideau s'ouvre : Messieurs les Banquiers, son Altesse le président de la République française, Monsieur le Premier ministre, Monsieur le Gouverneur de la Banque centrale et le petit peuple des conseillers de la Cour.
La pièce peut commencer : complètement lessivés par la crise des désormais célèbres "subpraïmes" (sic), les Banquiers vont bientôt sonner à la porte de l'Etat pour lui demander de mettre la main au porte-monnaie... Frédéric Lordon se révèle un versificateur virtuose, qui a fait le choix de l'alexandrin pour raconter la déconfiture d'un système qui a tous les traits de l'Ancien Régime. Mais si la forme évoque la tragédie classique, D'un retournement l'autre est aussi une farce sinistre qui dresse un portrait dévastateur de notre élite (le lecteur reconnaîtra sans peine ses plus célèbres représentants).
On rit jaune, à écouter cet aréopage de beaux parleurs affolés par l'interminable maelstrom qu'ils ont provoqué, mais qui jamais n'abjureront leur foi dans les vertus du marché. Crise de la finance, sauvetage public, Explosion de la dette et rigueur hystérique. Et comme d'habitude, à qui va l'addition ? Qui donc de la farce pour être le dindon ? On l'aura compris : le "retournement" à venir n'aura rien à voir avec celui d'un cours de bourse...
;Cet ouvrage s'adresse à tous ceux qui s'engagent dans des études comportant des enseignements en sciences économiques.
À partir d'une présentation simple et claire des grands principes et théories économiques, les principaux éléments des analyses microéconomique et macroéconomique sont mis au service d'une compréhension des grandes problématiques contemporaines : croissance et régulation, monnaie et financement, mondialisation.
Les différents chapitres s'appuient sur les principaux acquis théoriques existants et les données empiriques les plus récentes.
Public ciblé :
- Étudiants en économie-gestion et en sciences économiques (DUT, licences, licences professionnelles).
- Étudiants en écoles supérieures de commerce et en IEP.
- Étudiants préparant le CAPES de sciences économiques et sociales ou le CAPET d'économie-gestion.
Livre en Ligne : l'intégralité de votre livre accessible en ligne gratuitement (PC/Mac, Tablettes et Smartphones...)
Après la crise financière de 2007-2008, il est devenu banal de dénoncer l'absurdité d'un marché
La société est de plus en plus compétitive ; l'économie guide le monde. Vers quelle destination ? Le bonheur ? Les indicateurs de satisfaction et de bien-être stagnent ou régressent, dans les entreprises comme dans les couples. L'efficacité ? Les crises financières et les risques écologiques montrent qu'elle laisse à désirer ! La liberté ? Tous ceux qui ont parié que la prospérité mènerait à la démocratie se sont trompés : ce sont les crises qui renversent les tyrans. En vérité, l'économie tend à imposer partout son propre modèle : celui où la compétition l'emporte sur la coopération ; où la richesse acquise renforce le besoin d'en accumuler davantage ; où une espèce étrange - l'Homo economicus - se hisse au-dessus des autres, propageant partout sa logique néo-darwinienne. Une réflexion sur le rapport entre la quête du bonheur individuel et la marche des sociétés par l'auteur de La Prospérité du vice.
Nous vivons collectivement un moment historique qui nous offre une opportunité unique : responsabiliser le capitalisme. En mesurant son impact, nous pouvons changer l'économie... et refaire société.
À l'heure où la crise sanitaire a définitivement éveillé les consciences à l'urgence d'adopter des modes de consommation et de production plus responsables, l'économie se réinvente sous nos yeux. Dans cet essai personnel et engagé, Olivia Grégoire s'interroge sur les conditions de survie du capitalisme, l'avenir de l'entreprise, et leur contribution au vivre-ensemble. Pour la secrétaire d'État chargée de l'Économie sociale, solidaire et responsable, il s'agit de transformer l'économie en lui redonnant toute sa place au coeur d'un projet de société durable et inclusif : si la société capitaliste ne réussit pas sa mutation, ce n'est pas le capitalisme qui disparaîtra, mais la société elle-même.
Un témoignage inédit et des pistes concrètes pour accélérer la révolution économique, écologique et solidaire.
L'économie circulaire propose de repenser nos modes de production et de consommation pour optimiser l'utilisation des ressources, et empêcher leur épuisement à moyen terme. Elle s'appuie notamment sur les boucles courtes, les énergies renouvelables et la gestion des déchets. Simple curieux, particulier ou professionnel, association, entreprise ou élu, vous trouverez dans cet ouvrage de référence la définition de ce concept, les différentes applications et de très nombreux exemples.
Découvrez comment :
Concilier l'écologie, l'économie et l'action sociale ;
Privilégier les circuits courts et s'ancrer dans le territoire ;
Soutenir le développement des énergies renouvelables ;
Valoriser le zéro déchet ;
Favoriser l'économie circulaire au quotidien.
Analyse les causes de la croissance démographique mondiale au XXIe siècle en soulignant l'importance des changement en matière de comportements et des modes de vie. Décrit la transition démographique vers une natalité et une mortalité moindres et présente les tendances démographiques pour chaque grande région du monde.
Ce livre propose la première synthèse en français de l'évolution économique de la Russie, depuis la révolution bolchévique jusqu'au quatrième mandat de Vladimir Poutine. Il s'agit d'une « économie politique », c'est-à-dire d'une analyse des mutations économiques qui intègre les institutions, la politique et l'histoire.
L'auteur explicite le long processus d'effondrement du communisme et la façon dont cet héritage influence toujours l'économie russe. Il montre aussi pourquoi une transition vers le capitalisme inspirée par des économistes du mainstream anglo-saxon ne pouvait pas fonctionner et comment, avec le conflit ukrainien, la géopolitique complique aujourd'hui la recherche d'un modèle de croissance stable.